"J’ai ouvert mes poils aux dents diverses , hissé les dures limites de ma maison ; à trop me geler, j’ai dévergondé des cohortes en fer , blanchi mon papa pour recoller son corps au chien , à jamais pour toujours. J’ai dosé les maux bleus, ceux qu’on ne vit plus, les inédits, les mots d’humour déférés. Tu vas tenir, si tu ne tenais pas, je pourrirais ." joyeuses fêtes , moi tout ! à Léo , pars pas !
( son lien original à coté de mes trois boules houleuses comme dab )
à quoi bon mimer !?
Joyeux Noël cher Cactus !
RépondreSupprimerJe croyais avoir commenté déjà ce sein que je ne saurais voir.
RépondreSupprimerTendres bises mon Cactus. Tu festoyes, c'est pour ça qu'on ne te vois plus, tu n'écris pas la bouche pleine. Cheers!