Quelques flashes parmi des dizaines : la secrétaire serrée à outrance dans une jupe qui l'empêche de se déplacer autrement qu'à tati-llons sur ses talons hauts ! Et la fontaine pour la frime que l'on arrête si l'hôte qui arrive est un familier ... Et cette silhouette dégingandée, qu'on se demande comment elle arrive à se déplacer sans tomber, Et l'impression de solitude absolue du réalisateur face à la caméra ...
C'est ce que je me disais aussi... J'ai une grande tendresse pour Jour de Fête, mais mon Oncle est un monument d'inventivité et de drôlerie. On ne se lasse pas de voir et de revoir cette figure lunaire, un mélange de Chaplin, Harold Lloyd et Pierre Etaix.
@saravati. La vraie littérature est une machine à voyager dans le temps et dans l'espace. Elle fait de la téléportation en permanence. Elle est forcément fantastique. Après, y a des rapports de bureau ou des notices de machine à écrire. Et c'est pas la forme extérieure de la littérature qui lui donne son aspect "fantastique" c'est le fait qu'elle soit de la littérature. Après, tous les amusements formels ne font pas d'un âne une girafe."
la pipe a Tati ayant été volée deux fois en ce monument là , ils ont décidé de lui filer une cigarette !
RépondreSupprimerétonnant , non ?
Ah oui, Tati ! Faudrait parler de ses plans larges qui ont influencé plus d'un réalisateur... Mais j' dirai rien pour l'instant.
RépondreSupprimerLes vacances de monsieur Hulot et le comique de répétition avec la serviette dépliée ou le jeu de ballon
RépondreSupprimerSi vous allez le chercher à Tatihou méfiez-vous des marées...
RépondreSupprimerQuelques flashes parmi des dizaines : la secrétaire serrée à outrance dans une jupe qui l'empêche de se déplacer autrement qu'à tati-llons sur ses talons hauts !
RépondreSupprimerEt la fontaine pour la frime que l'on arrête si l'hôte qui arrive est un familier ...
Et cette silhouette dégingandée, qu'on se demande comment elle arrive à se déplacer sans tomber, Et l'impression de solitude absolue du réalisateur face à la caméra ...
Ces plans et tant d'autres, un bonheur rien qu'à y songer. Maintenant j'ai une ♪♪♪ de 'Mon oncle' en tête.
RépondreSupprimerOK OK
RépondreSupprimerce devrait être sur l'autre blog :-)
C'est ce que je me disais aussi...
RépondreSupprimerJ'ai une grande tendresse pour Jour de Fête, mais mon Oncle est un monument d'inventivité et de drôlerie. On ne se lasse pas de voir et de revoir cette figure lunaire, un mélange de Chaplin, Harold Lloyd et Pierre Etaix.
Faut que je me mette à poils pour que l'on me retrouve là-bas ?
RépondreSupprimermerci pour vos "réactions" c'est ce que j'espérais : là où vous irez , j'irai !
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