Le bon , les brutes , des coudes , des mains mais aucun truand !
Clint Eastwood venant de recevoir son second prix : un jéroboam de Côte-Rôtie qu'il arbore fièrement sous sa boutonnière ( la photo une est l'arrivée de LA star , la deux Clint coté fesses _ surcoté ? _ )
si on avait un peu de temps et de chance , on pouvait l'aborder plus tard ( pas le dimanche car il partait pour son film juste après , qu'il tourne chez nous ) ; le samedi c'était possible ! ( très bon article d'Aurélien Ferenczi , très juste , un extrait de Tra ouaibe : Une certitude. A la veille de son terme, qui verra Clint Esatwood recevoir le Prix Lumière (on souhaite longue vie aux deux), la première édition de Lumière est d’ores et déjà une réussite. Salles combles et enthousiastes, invités passionnés et partageurs, films rares ou célèbres projetés dans des conditions optimales. Ce que Thierry Frémaux a réussi, surtout, c’est une convivialité permanente, une communion bon enfant dans l’amour du cinéma (je sais, ça fait un peu nunuche comme expression, mais il n'y en a pas de meilleures) qui rend tout le monde, y compris les cinéastes stars présents, curieux, détendu et abordable. C’est plus facile à dire en tant que festivalier professionnel qu’en tant que spectateur payant, j’en conviens, et il n’y a pas l’enjeu économique et médiatique qui prive Cannes de cette décontraction-là. Mais il y a, disons, un art de recevoir, que d’autres festivals devraient méditer (tout le monde n’a pas non plus « l’outil » qu’est l’Institut Lumière, ni l’argent de la communauté urbaine lyonnaise et des sponsors). C’est simple : on rechigne presque à en dire tout le bien qu’on en pense, sinon il y aura trop de monde l’année prochaine ! . Aurélien Ferenczi Le 16 octobre 2009 à 14h00
je voudrais t'y voir : agrandis la photo et regarde bien le regard du garde de son corps qui me scrute la main molle ! t'as toujours l'Adam dur , toi !
oui , à mes risques et périls : sécurité solide et beaucoup de Kojak brutes de chez brutes mais à lyon ce soir là , il était presque abordable et très souriant comme dab !
en grossissant la photo on voit qu'il me regarde d'une drôle de façon :-) je ferais bien un cactus dans son prochain western tourné en france en ce moment HEREAFTER !
@saravati. La vraie littérature est une machine à voyager dans le temps et dans l'espace. Elle fait de la téléportation en permanence. Elle est forcément fantastique. Après, y a des rapports de bureau ou des notices de machine à écrire. Et c'est pas la forme extérieure de la littérature qui lui donne son aspect "fantastique" c'est le fait qu'elle soit de la littérature. Après, tous les amusements formels ne font pas d'un âne une girafe."
si on avait un peu de temps et de chance , on pouvait l'aborder plus tard ( pas le dimanche car il partait pour son film juste après , qu'il tourne chez nous ) ; le samedi c'était possible ! ( très bon article d'Aurélien Ferenczi , très juste , un extrait de Tra ouaibe :
RépondreSupprimerUne certitude. A la veille de son terme, qui verra Clint Esatwood recevoir le Prix Lumière (on souhaite longue vie aux deux), la première édition de Lumière est d’ores et déjà une réussite. Salles combles et enthousiastes, invités passionnés et partageurs, films rares ou célèbres projetés dans des conditions optimales. Ce que Thierry Frémaux a réussi, surtout, c’est une convivialité permanente, une communion bon enfant dans l’amour du cinéma (je sais, ça fait un peu nunuche comme expression, mais il n'y en a pas de meilleures) qui rend tout le monde, y compris les cinéastes stars présents, curieux, détendu et abordable. C’est plus facile à dire en tant que festivalier professionnel qu’en tant que spectateur payant, j’en conviens, et il n’y a pas l’enjeu économique et médiatique qui prive Cannes de cette décontraction-là. Mais il y a, disons, un art de recevoir, que d’autres festivals devraient méditer (tout le monde n’a pas non plus « l’outil » qu’est l’Institut Lumière, ni l’argent de la communauté urbaine lyonnaise et des sponsors). C’est simple : on rechigne presque à en dire tout le bien qu’on en pense, sinon il y aura trop de monde l’année prochaine !
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Aurélien Ferenczi
Le 16 octobre 2009 à 14h00
la main droite violette à gauche is mine !
RépondreSupprimerT'as la main un poil mollassonne, oserais-je dire, quand même !!!
RépondreSupprimerEt tu ferais bien de mettre la zik géniale de son fils Kyle !!!
RépondreSupprimerje voudrais t'y voir : agrandis la photo et regarde bien le regard du garde de son corps qui me scrute la main molle !
RépondreSupprimert'as toujours l'Adam dur , toi !
Tu l'as touché ????
RépondreSupprimer...
Veinard !
(soupir.)
oui , à mes risques et périls : sécurité solide et beaucoup de Kojak brutes de chez brutes mais à lyon ce soir là , il était presque abordable et très souriant comme dab !
RépondreSupprimerje l'ai touché , il m'a roucoulé ! ( quelle voix ! )
RépondreSupprimeren grossissant la photo on voit qu'il me regarde d'une drôle de façon :-)
RépondreSupprimerje ferais bien un cactus dans son prochain western tourné en france en ce moment HEREAFTER !