Pages versus pajes

samedi 28 novembre 2009

Annotez les Miss ( lien sous ce titre )



à droite de mes trois boules !
et soyez injuste !

lundi 23 novembre 2009

Cactus Land : Bonjour Marie , Alikoum Salam !

J'ai reçu ceci 
_ j'ai adoré ! _:
"Je suis toute bête devant votre blog "Joe Cactus", car on ne peut répondre ? Je n'ai pas trouvé comment ! Je suis totalement perdue avec vos blogs qui aboutissent sur des adresses fermées.ussi, si vous voulez y ajouter ????? Si réponse acceptée, le commentaire suivant" :

et j'ai ajouté BONJOUR  , Rachid Taha
que j'ai la chance de connaître
de très près , de la vraie vie ziccale !


Jo-e Cactus,
Y va pas partout,
Marche pas au soda.
Son saxo jaune
Connaît toutes les rues par cœur,
Tous les p'tits bars,
Tous les coins tops
Et le Rhône,
Et ses ponts qui brillent.
Dans sa caisse,
La musique à Joe,
C'est le jazziii,
Du vieux rock à Ferré.
Jo-e Cactus,
C'est sa vie,
6ème Corps et jazziii,
Embouteillage.
Il est comme ça,
Bourgogne au jazzii
Joe - Joe - Joe.
Dans sa caisse,
La musique à Joe résonne.
C'est le jazziiii,
Du vieux rock à Léo Ferré.
Vas-y Joe,
Vas-y Joe,
Vas-y fonce,
Dans la nuit, vers la chanson,
Jo-e Cactus
Elvis Preslay
Jo-e Cactus...
 
Salutations,
Marie

vendredi 20 novembre 2009

Aimant (de) Duras , India songuons donc !

Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo














Duras lex sed lex :

jeudi 19 novembre 2009

Here comes the son

 photo de pochette éventuelle :



Donnez-moi votre avis sur ma première chanson
écrite il y a longtemps
qui vient de trouver éditeur !

"Here comes the son"

nom de scène future éventuel
nom point encore épris :

Georges Harrisun

les paroles  sont dans le titre
à coté des trois boules ,
cherchez le PLAYER
sur mon premier wizzz Télérama
( j'en ai créé 10 depuis
de wizzz Télérama 
sous des fausses barbes
_ les trouverez-vous ?_ )
 en français juste pour vous
en britiricain sur le CD un titre!_

mercredi 18 novembre 2009

Une bonne fessée par Tonton Georges



( "ciné-chiner ze blog " sera à chaque fois ici
en mon titre 
à droite des trois boules )
La Fessée
La veuve et l'orphelin, quoi de plus émouvant ?
Un vieux copain d'école étant mort sans enfants,
Abandonnant au monde une épouse épatante,
J'allai rendre visite à la désespérée.
Et puis, ne sachant plus où finir ma soirée,
Je lui tins compagnie dans la chapelle ardente.

Pour endiguer ses pleurs, pour apaiser ses maux,
Je me mis à blaguer, à sortir des bons mots,
Tous les moyens sont bons au médecin de l'âme...
Bientôt, par la vertu de quelques facéties,
La veuve se tenait les côtes, Dieu merci !
Ainsi que des bossus, tous deux nous rigolâmes.

Ma pipe dépassait un peu de mon veston.
Aimable, elle m'encouragea : " Bourrez-la donc,
Qu'aucun impératif moral ne vous arrête,
Si mon pauvre mari détestait le tabac,
Maintenant la fumée ne le dérange pas !
Mais où diantre ai-je mis mon porte-cigarettes ? "

A minuit, d'une voix douce de séraphin,
Elle me demanda si je n'avais pas faim.
" Ça le ferait-il revenir, ajouta-t-elle,
De pousser la piété jusqu'à l'inanition :
Que diriez-vous d'une frugale collation ? "
Et nous fîmes un petit souper aux chandelles.

" Regardez s'il est beau ! Dirait-on point qu'il dort.
Ce n'est certes pas lui qui me donnerait tort
De noyer mon chagrin dans un flot de champagne. "
Quand nous eûmes vidé le deuxième magnum,
La veuve était émue, nom d'un petit bonhomm' !
Et son esprit se mit à battre la campagne...

" Mon Dieu, ce que c'est tout de même que de nous ! "
Soupira-t-elle, en s'asseyant sur mes genoux.
Et puis, ayant collé sa lèvre sur ma lèvre,
" Me voilà rassurée, fit-elle, j'avais peur
Que, sous votre moustache en tablier d'sapeur,
Vous ne cachiez coquettement un bec-de-lièvre... "

Un tablier d'sapeur, ma moustache, pensez !
Cette comparaison méritait la fessée.
Retroussant l'insolente avec nulle tendresse,
Conscient d'accomplir, somme toute, un devoir,
Mais en fermant les yeux pour ne pas trop en voir,
Paf ! j'abattis sur elle une main vengeresse !

" Aïe ! vous m'avez fêlé le postérieur en deux ! "
Se plaignit-elle, et je baissai le front, piteux,
Craignant avoir frappé de façon trop brutale.
Mais j'appris, par la suite, et j'en fus bien content,
Que cet état de chos's durait depuis longtemps :
Menteuse ! la fêlure était congénitale.

Quand je levai la main pour la deuxième fois,
Le cœur n'y était plus, j'avais perdu la foi,
Surtout qu'elle s'était enquise, la bougresse :
" Avez-vous remarqué que j'avais un beau cul ?
Et ma main vengeresse est retombée, vaincue!
Et le troisième coup ne fut qu'une caresse...
Georges Brassens .

( "ciné-chiner ze blog " sera à chaque fois ici
en mon titre
à droite des trois boules )

mardi 17 novembre 2009

Mes grogs préférés sur notre net : à chaque montée en leur filet , c'est un ace car ce sont des as !


l'arbre de ma liberté

Ma liste samedi prochain :
Femmes , femmes , femmes ,
je parie que vous en serez !
Sissi !!

dimanche 15 novembre 2009

"Talking with Sartre" ,"When Sartre Talked to Crabs (It Was Mescaline) " le New-York Time talque Sartre :

intéressant , non ?
le lien dans le titre comme dab
à coté de mes trois boules de cuir !


Hippolyte Taine , philo sophe trop vite oublié !

à My Dog , je conseille " la philo racontée à mon chat " , j'ai un peu modifié le titre du livre !




L'oeuvre de Taine est assez abondante et se caractérise par une méthode rigoureuse (non sans annoncer la phénoménologie) presque systématique reflétée entre autres par sa 'Philosophie de l'art' (1882). Taine a été d'emblée un adversaire de Victor Cousin, qui était alors aussi célèbre qu'il faisait autorité. Alors qu'il est encore étudiant, il se déclare pour Spinoza et Hegel : il apparaît comme un philosophe révolté, en marge de l'institution. Très tôt, Taine vit de sa plume (' La Fontaine et ses fables', 1853-1861) mais il acquiert une réelle célébrité vers 1860, après la parution de son enquête intitulée 'Les Philosophes du XIXe siècle'. Avec Ernest Renan, Taine est un acteur majeur de la crise du spiritualisme : comme Renan, il symbolise un scientisme largement partagé à l'époque. Armé d'un strict déterminisme, il explique la production littéraire et artistique par la race, le milieu (géographique et social) et le moment (évolution historique).
_merci à  Evene.fr _ toute l'agri Culture _

vendredi 13 novembre 2009

Faut arrêter , mon Char ?


Allégeance

Dans les rues de la ville il y a mon amour. Peu importe où il va dans le temps divisé. Il n'est plus mon amour, chacun peut lui parler. Il ne se souvient plus; qui au juste l'aima?


Il cherche son pareil dans le voeu des regards. L'espace qu'il parcourt est ma fidélité. Il dessine l'espoir et léger l'éconduit. Il est prépondérant sans qu'il y prenne part.


Je vis au fond de lui comme une épave heureuse. A son insu, ma solitude est son trésor. Dans le grand méridien où s'inscrit son essor, ma liberté le creuse.


Dans les rues de la ville il y a mon amour. Peu importe où il va dans le temps divisé. Il n'est plus mon amour, chacun peut lui parler. Il ne se souvient plus; qui au juste l'aima et l'éclaire de loin pour qu'il ne tombe pas?


René Char


( Arles2008 Ateliers SNCF )
 
( Allégeance ? )

 

comment conclure ici ?

Je me cherche !

à Boris Vian !

belle conclusion multiple , non ?
Sissi !

jeudi 12 novembre 2009

une partie fine de ping-pong entre bonzesses ?


lundi 9 novembre 2009

Confiture de Mur sauvage ( à l'occasion des 20 ans , hommage )

"Tout commence d'abord par la cueillette , à Firminy ou ailleurs , au risque et péril des participants ! oui ! c'est dangereux cette affaire ! il faut souvent beaucoup marcher avant de trouver les buissons magiques qui donnent ces fabuleux fruits noirs , puis il faut les ramasser avec précautions : ronces , orties et prunus sauvages en tout genre vous barrent la route du bonheur , et ça  sans compter sur la faune locale , qui certes ne vous ferait aucun mal ! mais c'est psychologique : me faire courir dessus par des araignées velues , des punaises ou pire , des mantes religieuses...rah....je frissonne d'horreur...
bref ,  quand vous rentrez après des heures de dégustation (on ne peut pas s'empecher d'en goûter , pour voir , surtout les plus grosses !) , de griffures et de rencontres diverses et variées ! vous êtes fières de vos efforts !

vous pouvez commencez la préparation de la confiture ! (pensez à ramasser une petite poignée de mûres rouges , c'est mieux , il faut un peu d'acidité pour la confiture )
-2 kg de mûres
-sucre cristal (en fonction du jus receulli , dans la proportion : 600g de sucre pour 1 kg de jus )
-1 càs ( = cuillère à soupe ) de jus de citron
faites cuire vos mûres préalablement rincées un petit quart d'heure afin de les faire éclater et rendre leur jus
passez les au moulin à légumes pour récupérer le jus et la pulpe seulement et jetez les grains à la poubelle ( je déteste trouver des grains dans la confiture...c'est comme la salade ou le persil , ça a le chic pour se glisser entre les dents !!!)
pesez le jus et rajoutez le sucre suivant les proportions que je vous ai donné plus haut et le jus de citron
faites cuire 10 à 15 min en remuant souvent
bien écumer la mousse qui se forme au début , et arrétez la cuisson quand la confiture nappe bien la cuillère et forme une petite boule ronde lorsque vous versez une petite quantité dans un verre d'eau froide
versez dans des pots à confiture préalablement lavés dans de l'eau bouillante , fermez le couvercle et retournez votre pot pour finir de stériliser l'ensemble
après combat avec la nature , cuisson éclaboussante , salissante , et vaisselle encombrante...regardez vos jolis pots qui seront mangés en un clin d'oeil ( in the twinkle of an ail )!!!
tartinée sur du pain frais ou de la brioche....dans un fromage blanc nature...sur un sorbet de fruit ...sur des sablés...à vous de trouver les déclinaison possible....moi , je suis épuisée !!! trop fatigant de faire de la confiture de mûres sauvages ...grrr...."
( merci à  Khala and Co , son site est dans le titre )

( Faut abuser du Corbusier ! )

dimanche 8 novembre 2009

Mon futur intérieur !


remonter
démonter
le tant !



"La chaise de Van Gogh où tu ne t'assieds pas
Les souliers de Vincent que tu ne chausses pas
(...)
Les larmes de cet arbre inquiet dans la forêt
La chaise de Vincent, de quel bois elle était ?"


à trop me conjuguer
à trop m'être subjugué
subjonction de subjugation
conjonction d'insubordination

j'ai l'intérieur qui refuse
de m'extérioriser
pour ne point être la risée
de toutes les frisées !

voire le frisé
de toutes les risées :

Quelle salade !

samedi 7 novembre 2009

Allons donc ciné-chiner !

vendredi 6 novembre 2009

Vase Ming non communicante en pays Mongh .

"Chinese ceramic ware is an artform that has been developing since the dynastic periods . China is richly endowed with the raw materials needed for making ceramics . The first types of ceramics were made about 11,000 years ago, during the Palaeolithic era. Chinese Ceramics range from construction materials such as bricks and tiles, to hand-built pottery vessels fired in bonfires or kilns, to the sophisticated porcelain wares made for the imperial court."( my pote Wiki said )

( Arles 2008 , ATELIERS SNCF :
Femme Mongh sans tresse  ,
en détresse face à King-Kongh  en un

village mongh au bord du Mékong )

Création prochaine d'un blog ciné

c'est fait , c'est là :

comme dirait Màc , je conte sur vous pour vos provisions !
j'ai depuis longtemps ma petite idée
une sorte de " blog ciné club "
où l'on viendrait refaire
l'histoire du ciné
( j'y reviens , voir mes com'
billet Ozu )

 

 
 
 
( à me suivre )

jeudi 5 novembre 2009

秋刀魚の味 (Sanma no aji) _ Cinémas , cinéma _

à l'heure du thé de Clopine Nette ou pas 
faut voir voire revoir :

Le Goût du saké
de Yasujiro Ozu , pendant que vous y êtes ; peut très bien  se voir ou se revoir sur votre vieux  poste télé , ce qui n'est plus le cas avec les films plus récents )_ "le dernier film du cinéaste, sorti en salles moins d'un mois avant qu'il ne décède le 12 décembre 1963 des suites d'un cancer." dit mon pote Ouikiki ! Sissi !_

(  comme d'habitude
la photo choisie a un sens profond
malgré les apparences trompeuses
pouvant exister )

mercredi 4 novembre 2009

Le dernier film d'Alain Resnais ! ( Cinémas , cinéma )

un grand moment une fois encore ! des avis très partagés pourtant à la fin de la projo : surtout des vieilles désorientées cette fois par lui , à en louper plusieurs marches ( sur les 39 réellement contées alors par moi en ma démarche de cinéphile ce jour né ) ; à noter aussi que Tollérama aussi s'est partagé !
ainsi va l'avis !
à demain à froid pour une seconde pression voire impression , Cactus pur jus !

le lendemain dès l'aube , donc , ce rejet nouveau
après une trop courte nuit
loin de tout ennui , certes :


LES HERBES FOLLES
menées d'une braguette de maître magique

mais chut , je ne vous en dis pas plus !
( à venir ici :
Saucisse , le dernier Opus
de ce film d'horreur )

en attendant passez donc à la caisse
( superbe blog pour pur cinéphile impur :

"Toutes ces poufs_à belles toufs certes mais à si petits qi-qi_en notre télé irréalité !"

Cette récitation n'est pas de Claude Lévi-Strauss , certes mais reste d'actualités quotidiennes ; pour éviter de croiser leurs regards à elles _ parfois dans ELLE aussi _ si souvent silly connes nénés à ces belles clonéesnées , il faut juste regarder le moins possible nos de moins en moins étranges petites lucarnes et leur 1569 chaines au moins , là où elles se déchaînent aussi parfois certes aussi !
ha Cinéma,cinéma..........Bernard Pivot............Cinq colonnes à la une ( devenus Cinq Connes Sur La Une ? ).....et j'en oublie , ma nostalgie reste toujours telle qu'elle était même en ce beau matin ensoleillé de début novembre !
et merdre !

Poussons donc un grand méchant "HOU ! "
( photo Arles expo 2008 )

mardi 3 novembre 2009

La coulemolle , champignon vénimeux ?!

La coulemolle fait partie du Genre Macrolepiota. C'est la Macrolepiota procera connue également sous le nom de lépiote élevée.
Sa hauteur moyenne dépasse les vingt centimètres, certains exemplaires pouvant même atteindre quarante centimètres.

en réponse à JEA/JEA en com' , une petite loupiote mâle élevée : en fait la future fleur de mon vieux Cereus , en français " mon vieux Serge" _
j'ai repris cette faute de petite frappe commise par une de mes anciennes élèves souvent corrigée pourtant :
" m'sieur m'sieur ce champignon c'est bien une couille molle ? " le tout dédit en britiche en plus ! ( haaa l'époque des nombreuses copines à corriger même si fourbu le soir _ une pensée pour notre Màc à dames à nous , le veinard qui bosse fort encore _ )

Ma Biennale à moi : entrepôt Bichat , suppot de Satan ? ( chaque jour du nouveau )

Dixième biennale de Lyon, le spectacle du quotidien, du 16 septembre 2009 au 3 janvier 2010, la sucrière, fondation Bullukian, musée d'art contemporain....

ici , entrepôt BICHAT
l'artiste est
PEDRO CABRITA REIS né en 56 à Lisboa où il travaille et vit !

 
 
 
à demain !

La nouvelle cannelle honnie ?

pourquoi le serait-elle ?
sauce Nolo de Nantua ou pas !
mais je me mélange
je me mélange !
et dire que j'étais parti
pour vous parler du dernier
Prix Renaudot !
comment en suis-je arrivé là
voire ici ?
de trop voyager virtuellement peut-être ,

j'en ai perdu mon lutin ?
Haaa la Nouvelle-Cannelle honnie !

_rien à voir avec le Concourt consterné là
mais mes criquets lutineurs
étaient en fait
en cette position là :
verticalement !
c'est moi qui me suis permis
ensuite de les basculer horizontalement
et pas que pour élargir mon horizon
non , non !
pour la perspective point nocive
aussi , sissi ! _

lundi 2 novembre 2009

Souvenirs souvenirs .


You know , He was NOT Cantona ...............

HE was only a man,
he was PROUST !

(  Je viens de m'acheter PROUST EN BD
Stéphane Heuet et Marcel Proust :
j'adore )


_JE recherche le film " le temps retrouvé"
FORTE récompense 
à celle qui !_

dimanche 1 novembre 2009

à tous les Morts !


Paul VALÉRY (1871-1945)

Élu en 1925 au fauteuil 38

Grand officier de la Légion d'honneur

Prédécesseur : Anatole France
Successeur :  Henri Mondor
"Né à Sète, le 30 octobre 1871.
D’ascendance corse par son père et génoise par sa mère, Paul Valéry fit ses études primaires chez les Dominicains de sa ville natale et ses études secondaires au lycée de Montpellier."
.................
"Lorsque éclata la Seconde Guerre mondiale, Paul Valéry, qui avait reçu en 1931 le maréchal Pétain à l’Académie, s’opposa vivement à la proposition d’Abel Bonnard qui voulait que l’Académie adressât ses félicitations au chef de l’État pour sa rencontre avec Hitler à Montoire. Directeur de l’Académie en 1941, il devait par ailleurs prononcer l’éloge funèbre de Bergson, dans un discours qui fut salué par tous comme un acte de courage et de résistance. Refusant de collaborer, Paul Valéry allait perdre sous l’Occupation son poste d’administrateur du centre universitaire de Nice. Par une ironie du sort, il mourut la semaine même où s’ouvrait, dans la France libérée, le procès Pétain. Après des funérailles nationales, il fut inhumé à Sète, dans son cimetière marin.
Mort le 20 juillet 1945."


                                                                      

Jour de Tous seins